J’ai vu que tu te levais de ton bain de soleil, que tu rentrais dans la maison, que tu en sortais drapée dans ta serviette de bain. Tu étais encore plus belle. Je t’ai vue lâcher ta serviette et te découvrir entièrement nue. Ta beauté m’éblouissait. Tu es entrée dans l’eau, tu as nagé quelque peu… et tu t’es rapprochée de moi. Très rapprochée.
J’ai caressé tes seins nus. Ils frémissaient. J’étais aux anges. Mes caresses ont continué, tout en se hasardant en d’autres territoires. C’était toi, cette fois, qui frémissais. Mes doigts exploraient ton antre d’amour, sans trop savoir ce qui la rendait humide et chaude alors que nous étions dans l’eau suave. Je ne me posais moi-même pas trop de questions, tout occupé à partager ton baiser passionné.
Dans des mouvements lents, au gré de l’eau, j’ai senti ma hampe se rapprocher de plus en plus de ta grotte profonde pour finir par la pénétrer. C’était bon. Nous nous sommes alors mus, au rythme de notre amour et de l’eau. Celle-ci ne permettait pas trop de folies, mais elle contribuait à resserrer tes muqueuses autour de ma plus belle extension. C’était merveilleux.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi à aller et à venir l’un vers l’autre dans de douces sensations. C’était sublime. Mais je sentais bien que la lenteur forcée par l’eau ne m’emmènerait pas cette fois vers l’explosion finale. Ta grotte profonde m’accueillait pleinement, mais l’envie d’en découvrir une autre se fit petit à petit plus pressante.
Je ne sais trop comment, nous avons traversé la piscine, fichés l’un en l’autre, jusqu’à l’échelle. Je me suis détaché de toi, non sans sentir un nouveau frémissement. J’ai gravi un ou deux échelons, jusqu’à ce que mon membre soit à hauteur de ta bouche. J’ai vu celle-ci se rapprocher et embrasser mon plus beau trésor. J’ai vu tes lèvres s’ouvrir pour me recevoir. Je les ai vues entamer un doux mouvement, m’enserrant amoureusement. J’étais au bord de défaillir.
Rapidement, je sus que le point de non-retour était atteint. J’allais exploser. C’était prodigieux. Tu continuais à me lover, entièrement abandonnée à cette caresse si intime. J’explosai enfin. Pour la première fois, ta bouche ne me quitta pas, faisant ainsi connaissance de ma semence. Tes lèvres et ta langue m’achevaient complètement, non sans frémissement. Tu me lâchas enfin, me regardant fixement, dans un sourire complice. Nos lèvres s’unirent pour clôturer cet échange. C’était unique.