Nous étions une belle bande de copains à nous retrouver périodiquement pour un week-end à la campagne. Le groupe variait au gré des rencontres amoureuses de chacun d’entre nous. Ce samedi-là, j’étais venu seul, comptant bien le rester. Cela ne m’empêcha pas de remarquer une magnifique petite blonde qui accompagnait Juan dont je connaissais la réputation d’infatigable séducteur.
Le dimanche matin, alors que beaucoup dormaient encore à la suite de la belle soirée et sans doute de la belle nuit, je profitais calmement du calme et du soleil. La petite blonde surgit soudain, une couverture sous les bras, m’invitant à une petite promenade. Je la suivis bien sûr. Nous déambulions en parlant de tout et de rien. Arrivés dans une jolie clairière, elle s’arrêta, étala la couverture et commença à se déshabiller prétextant qu’il faisait bien chaud ! À peine allongée sur la couverture, elle commença à caresser son pubis imberbe, tout en me regardant dans les yeux. Après une ou deux minutes, elle me demanda si je voulais bien l’aider !
J’étais subjugué. Je n’avais jamais vu une fille s’offrir ainsi. Qu’aurais-je dû faire alors que mon corps me stimulait à répondre à cet appel des sens ? Je me suis à mon tour déshabillé et ma bouche est partie à la découverte de la sienne. Elle était chaude et ouverte. Ma langue parcourut son corps pour finir par s’attarder sur cette partie dont je ne peux me lasser. Elle aussi était chaude et ouverte. La belle prenait visiblement beaucoup de plaisir. Après un léger crissement, elle roula son corps souple, me poussant à me coucher et je sentis cette merveilleuse sensation d’être pris dans une bouche gourmande. Elle savait y faire, la petite !
Lorsqu’elle roula à nouveau, je me retrouvai tout naturellement enfiché en elle. C’était délicieux. Son corps se mouvait merveilleusement, parfois avec une grande vivacité suivie d’un calme plus profond mais tout aussi intense.
Je me sentais proche de l’extase lorsque son corps se déroula encore dans un mouvement mystérieux. Je me retrouvai sur le dos à contempler son visage et caresser ses petits seins fermes, tout en étant pris encore dans son fourreau intime. C’était sublime. Jusqu’au moment où j’entendis des bruits de pas. Je vis alors Juan arriver, sourire aux lèvres. Je n’eus pas le temps de vraiment analyser la situation, mais je sentis le corps de la blonde se crisper quelque peu. Juan était en train de la pénétrer par la seule voie encore possible. Rapidement, il commença à imprimer un rythme plus rapide que celui qui nous berçait quelques instants plus tôt. Le corps de la belle semblait s’en délecter, alors que le mien ne goûtait pas vraiment les mêmes plaisirs, bloqué dans une danse que je ne contrôlais plus.
Nous finîmes tous trois par jouir, mais en ce qui me concerne, ce ne fut qu’une jouissance physique, un jet de semence réflexe n’ayant plus réellement de sens. Juan fut le premier à se relever et à se rhabiller. Celle qui m’avait donné quelques moments extatiques le suivit et je les vis s’en aller enlacés l’un contre l’autre. J’avais du mal à me retrouver, hésitant entre le sentiment d’avoir été manipulé ou celui d’avoir vécu un bon moment. Aujourd’hui encore, je me pose la question à propos de cette expérience triangulaire que je n’ai plus jamais vécue.
vendredi 9 décembre 2011
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