Poser la main sur son sein. En sentir la douceur. L’incroyable volupté. La fièvre du désir. Sentir vibrer cette masse ferme. La laisser se lover dans les plis de la main. En percevoir la moindre courbe. En humer le moindre frisson.
Caresser de la main ce sein merveilleux. Laisser les doigts gambader de monts en monts. Se laisser surprendre par ce bout de chair plus rugueux, dont la courbe est naturellement moins onctueuse.
Titiller ce téton du bout des doigts. Respirer au même rythme que son durcissement. Communier du bas du ventre à sa mise en forme et continuer à la provoquer dans un lent mouvement de vases communicants.
Finir par poser les lèvres sur ce bout de poitrine qui ne demande qu’à se laisser aspirer et enrober d’une chaleur humide. Pour mieux vibrer. Et d’harmoniques en harmonie, enfin, cueillir le désir.
samedi 14 mars 2009
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