Chaque fois que je vois son corps, je frémis. Les courbes sont parfaites. Elles invitent à les parcourir du bout des doigts ou de la langue. Elles sont autant de voyages dans lesquels on pourrait se perdre à tout jamais pour enfin se trouver.
Le sait-elle ? Elle se promène au hasard des moments, découverte de tout artifice. Elle ne montre rien, mais se laisse deviner. La lumière de l'aube ou du crépuscule attise ses atouts. J’en tremble.
La simple vue de son corps envahit le mien de souffles impérieux et chauds.
vendredi 13 mars 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire