vendredi 16 octobre 2009

Mère et fille

J’avais une trentaine d’années. Je menais une vie joyeuse de célibataire. Il fallait bien se nourrir et j’avais trouvé quelques familles qui m’accueillaient périodiquement pour un repas. L’une d’elles était nombreuse : six enfants entre 12 et 22 ans, dont notamment Maëlle, superbe jeune fille de 17 ans. Je m’y retrouvai de plus en plus souvent. Ce qui devait arriver arriva : je tombai amoureux de Maëlle pendant que sa mère tombait amoureuse de moi.

Aurais-je pu résister ? Une femme mûre s’offrait à moi, avec une intensité volcanique, pendant que je participais à la découverte de l’amour par une fleur en train d’éclore. Elles avaient des rythmes différents et nos rencontres en furent facilitées, sans être plus reposantes pour autant !

La plus jeune, qui ne parlait pas beaucoup, se découvrit une passion pour l’oral ! Il ne fallait pas deux minutes pour qu’elle fasse disparaître ceinture, pantalon, caleçon et qu’elle engouffre sa sucette préférée, avec une vigueur telle que j’en découvrais moi-même des sensations inconnues. Elle suçotait, suçait, aspirait, reniflait, absorbait, léchait, câlinait. J’étais devenu son bonbon qui semblait ne jamais perdre de goût ni d’intérêt. Lorsqu’à mon tour, j’enrobais sa perle d’amour de mes lèvres et la titillais de ma langue fougueuse, elle entrait en transe et plaquait ma tête jusqu’à l’extase complète. Elle aimait ensuite s’asseoir sur moi et s’abattre sur mon pieu qu’elle remuait alors avec une sensualité ronflante. Elle menait la danse et décidait seule du moment où nos deux corps s’illuminaient de plaisir. Je crois que je n’ai jamais vu ses fesses, même si je les ai caressées.

Sa mère, par contre, me fit comprendre très rapidement qu’on n’était plus au temps des missionnaires. Dès notre première galipette, elle me montra son derrière et se ahana d’aise lorsque je m’y installai. Sa main me saisit ensuite d’une ferme manière pour me diriger un peu plus haut. Je n’eus pas à m’enfoncer : c’est elle qui tout entière recula dans un cri rauque et suave. Elle m’enserrait ainsi d’étroite et agréable façon alors qu’elle émettait un chapelet d’insanités que je n’oserais répéter. Lorsque je giclai au plus profond d’elle, elle émit un râle long et puissant qui me fit frissonner moi-même. Elle me roucoula ensuite que c’était la première fois qu’on empruntait cette voie-là, et que désormais, entre nous, ce serait toujours par là.

Je vécus ainsi quelques mois paradisiaques. Ne passant jamais de nuit ensemble, mais nous retrouvant parfois – successivement – le matin, le midi, l’après quatre-heures… Lorsque je rejoignais ensuite le repas familial, nous discutions de choses et d’autres, comme si de rien n'était.

C’est à cette époque – allez savoir pourquoi ! – que j’eus l’envie d’avoir des enfants. Ce n’était possible ni avec la mère ni avec la fille. Alors, nous abandonnâmes nos jeux et je me tournai vers une autre relation.

Je n’eus jamais qu’un seul regret : celui de ne pas avoir pu, ne fut-ce qu’un moment, les serrer ensemble dans mes bras et bénéficier simultanément de leurs agréments respectifs.

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire